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Infomaniak dévoile son nouveau centre de données dédié à l'IA, pensé pour revaloriser l'énergie, et son offre d'IA générative.
Entretien avec le professeur d'ingénierie électrique et informatique Shaolei Ren, auteur d'une étude inédite sur les conséquences sanitaires du déploiement de l'intelligence artificielle.
Arrêtée en 2019, la centrale nucléaire américaine de Three Mile Island en Pennsylvanie reprend du service. La raison ? Microsoft souhaite exploiter l'énergie produite par l'un des réacteurs – l'unité 1 – pour alimenter ses centres de données aux Etats-Unis.
La pensée de Félix Guattari permet d’éclairer les coûts cachés des IA génératives, qui s’appuient sur un extractivisme pillant les ressources naturelles et culturelles.
Quelle que soit leur utilité potentielle, la généralisation de ces systèmes semble donc aller de pair avec un épuisement des ressources naturelles, au détriment des besoins fondamentaux des citoyens et de l’avenir de nos écosystèmes communs.
Les centres de données, ces infrastructures essentielles au fonctionnement de l’ère numérique, sont au cœur d’une controverse majeure. Selon une analyse récente, entre 2020 et 2022, les émissions de gaz à effet de serre des centres de données appartenant à des géants de la technologie comme Google, Microsoft, Meta et Apple étaient environ 662% plus élevées que ce qu’ils ont déclaré officiellement. Cette révélation soulève des questions cruciales sur la transparence et la responsabilité environnementale de ces entreprises.