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L’agence de renseignement américaine a mis au point un chatbot qui permet à ses employés de dialoguer avec des versions virtuelles de présidents et premiers ministres étrangers dans le but de « prédire leurs comportements ». Un nouvel outil qui en dit long sur son intérêt pour l’intelligence artificielle…
Vendredi, on apprenait que des chercheurs chinois liés à l'Armée populaire de libération avaient entrainé le modèle de langage Llama à des fins militaires, en violation des règles d'utilisation de Meta. Ce lundi, le président des affaires internationales de Meta révèle de son côté que des prestataires de l'armée états-unienne utilisent déjà Llama à des fins militaires, et qu'elle va autoriser les « Five Eyes » à faire de même.
L'entreprise a précisé qu'elle mettrait ses modèles d'IA Llama à la disposition des agences fédérales et qu'elle travaillait aussi avec des entreprises de défense telles que Lockheed Martin et Booz Allen, ainsi qu'avec des entreprises technologiques axées sur la défense, notamment Palantir et Anduril, et des prestataires d'agences gouvernementales, telles qu'Amazon Web Services, IBM, Oracle et Microsoft.